
C’est avec la plus grande tristesse que je t’ai vu partir, mon Max.
Toutes ces années à partager la passion du sport, à transpirer, mais aussi à discuter, à rigoler, à écouter quelques musiques, à t’apprendre à coordonner des gestes et à t’offrir un espace tiers. Ton grand cœur me restera gravé à jamais.
L’injustice de mourir à 22 ans me révolte.
Tu nous manqueras…